Discover Tokio Hotel’s new song ‘When it rains it pours’

And don’t forget to request it to a radio station near you! 😉

Découvrez la nouvelle chanson de Tokio Hotel “When it rains it pours” et n’oubliez pas de la demander aux radios près de chez vous 😉 !! 

I don’t know where you go
hard for you to share your home
cause you don’t want it all
’s what we have disposable ?

I want more
something beautiful
someone that I can count on and knows
when it rains
it pours
feels like i’m on my own
please don’t try to ignore that oh

baby
baby
I don’t wanna do this alone
baby
baby
I don’t wanna do this alone

I am just a simple man
but I’ve got blood on my hands
wash em off, all my sins
help me to remember that

I want more
something beautiful
someone that I can count on and knows
when it rains
it pours
feels like i’m on my own
please don’t try to ignore that oh

New interview for Superior Magazine

Quatre amis, deux jumeaux, un groupe, un immense succès. Leur histoire ressemble à un conte de fées, et ceux qui ne connaitraient pas encore Tokio Hotel ont du mal à le croire.

Élevés à Magdebourg, une ville du nord de l’Allemagne, les jumeaux Bill et Tom Kaulitz ont fondé leur premier groupe, Black Questionmark, alors qu’ils n’avaient même pas dix ans. En 2001, quelques années plus tard, ils ont rencontré Gustav Schäfer et Georg Listing et ont commencé à faire de la musique ensemble sous le nom de Devilish ; le groupe sera ensuite rapidement rebaptisé Tokio Hotel. Un producteur musical les a découverts lors d’un concert local et, quand ils ont sorti leur premier album en 2005, les Tokio Hotel étaient sous contrat avec Universal Music Group. Le groupe a connu un succès fulgurant : le single « Durch den Monsun » s’est immédiatement retrouvé en première place des classements allemands et l’album « Schrei » s’est vendu à 1,5 millions d’exemplaires dans le monde entier. En 2007, Tokio Hotel était en tournée partout dans le monde avec son deuxième album « Zimmer 483 ». Les salles de concert se sont emplies d’adolescentes en pleurs et hurlantes, les fans étrangers ont commencé à apprendre l’allemand, les filles manquaient l’école et s’évanouissaient d’émotion à la vue des garçons. Soit vous adoriez Tokio Hotel, soit vous les détestiez, il n’y avait pas d’entre-deux.

Mais le succès du groupe a eu des revers. Tom et Bill en particulier ne pouvaient quitter leur maison sans sécurité, aller à l’école leur était devenu impossible et les paparazzis les suivaient 24h/24. Quand les jumeaux ont découvert, en rentrant chez eux après leur 21e anniversaire, que quelqu’un s’était introduit chez eux et avait fouillé leurs armoires, ils ont finalement décidé de quitter l’Allemagne et de déménager à Los Angeles pour se reposer.

Quatre ans plus tard, le quatrième album de Tokio Hotel, « Kings of Suburbia », est sorti en octobre 2014. Les garçons ne considèrent pas qu’ils sont « de retour » car ils estiment n’être jamais réellement partis, mais ils ont pu recharger leurs batteries et repartent à présent en tournée avec « Feel It All » à partir de mars 2015.

Merci beaucoup de nous accueillir ! Depuis la sortie de votre dernier album, « Humanoid », en 2009, beaucoup de choses ont changé. En quoi votre processus d’enregistrement a-t-il été différent cette fois-ci ?
Bill : Je pense que la différence principale entre cet album et les précédents est que nous avons cette fois-ci tout produit nous-mêmes. Nous avions un studio chez nous, ce que nous n’avions pas avant. Et nous n’avions pas de limite de temps – nous avons simplement écrit et composé de la musique, sans que cela ne doive être prêt pour une certaine date. Nous avons pu faire ce que nous aimons et réaliser un album avec lequel nous nous sentons bien.

Tom : J’ai l’impression que tout a changé ! Notre premier album est sorti il y a dix ans. À l’époque, nous avions 15 ans, maintenant nous en avons 25… Le groupe a évolué. Nous avons changé la manière dont nous produisons, écrivons et jouons notre musique. Nous avons changé en tant qu’artistes et en tant que personnes. Je pense que le seul qui n’a pas du tout évolué est Georg… [rires]
Georg : Je suis encore frais.
Tom : Il est toujours un mauvais bassiste. Mais à part ça, tout a changé…
Bill : Mais de manière naturelle !
Tom : Et ça devrait. Ça serait terrible si nous n’avions pas changé et si nous faisions toujours de la musique de la même manière que lors de la sortie de « Schrei ».

C’est génial que vous ayez réussi à rester ensemble. C’est difficile, surtout quand on est si jeune et qu’on vit tellement de choses. Qu’est-ce qui vous tient ensemble, en tant que groupe ?
Bill : Je pense que c’est le fait que nous ayons grandi ensemble. Nous étions déjà amis et avons appris à nous connaître parce que nous vivions dans une très petite ville. Nous étions les seuls jeunes musiciens là-bas, nous avons donc fait connaissance et sommes devenus amis !

Tom : Et avant Tokio Hotel, nous formions déjà un groupe depuis cinq ans !
Bill : Nous nous connaissons depuis si longtemps et sommes de si bons amis, nous nous sentons donc comme une famille. Nous n’avons jamais eu de grosse dispute, nous nous respectons mutuellement ainsi que nos différences. Nous sommes comme des frères et nous nous connaissons très bien… et je pense que c’est pour cela que nous sommes toujours ensemble.

Lorsque vous viviez en Californie, vous êtes-vous lancés dans d’autres activités artistiques ?
Tom : Nous nous sommes juste concentrés sur notre musique. Mais comme seuls Bill et moi avons déménagé à Los Angeles, les gens nous demandent toujours : « Qu’est-ce que ça implique pour le groupe ? », puisque les deux autres sont restés en Allemagne. Je pense que l’on ne peut faire cela que si l’on est très proches – nous séparer n’a jamais été envisagé, jamais. Nous n’avons jamais voulu faire quoi que ce soit d’autre. Bill s’intéresse beaucoup à la mode, mais à part ça, la musique a toujours été notre priorité.

L’image que l’on a de L.A. est celle de végétariens très en forme, obsédés par leur santé. Est-ce que vous confirmez cela ?
Tom : Tout à fait. Tout le monde se préoccupe de vivre sainement, de manger de la bonne nourriture,…

Bill : J’ai parfois l’impression d’être un junkie européen quand je suis là-bas. Ils ont tous un mode de vie si sain ! Quant à nous, nous fumons, nous buvons, nous ne faisons pas de sport et nous ne mangeons que des cochonneries, c’est dingue. Et nous nous levons tard et restons éveillés toute la nuit, alors que les gens vont dormir très tôt, là-bas ! Tout le monde se lève à 6h, fait du sport… Et je ne fais pas ça du tout ; nous avons une vie vraiment différente.

À Berlin, c’est le contraire…
Bill : La vie ne serait pas aussi facile ici, mais j’adore Berlin.

Tom : De toutes les villes d’Allemagne, je choisirais de vivre à Berlin. Je pense acheter une maison ici.
Bill : Maintenant que nous ne vivons plus en Allemagne, nous l’apprécions encore plus.

Quelles sont les autres villes que vous aimez ? Vous avez joué un concert à la Tour Eiffel et vous vous intéressez à la mode ; vous devez aimer Paris ?
Bill : J’adore Paris ! J’aimerais beaucoup y vivre aussi. J’aimerais vivre dans plein de villes, juste pour toutes les essayer. J’aime beaucoup Rome, et Milan. L’Italie est géniale !

Tom : J’aime beaucoup Barcelone. Il y a beaucoup de villes d’Europe que j’aime bien.

Vous avez grandi en Allemagne, et la mentalité américaine est très différente par rapport à l’Europe. Avez-vous subi un grand choc culturel en arrivant à L.A. ?
Bill : L.A. est une très belle ville, mais elle est parfois artificielle et peu fiable. En Allemagne, nous avons été élevés pour être très ponctuels, et nous sommes donc toujours à l’heure. Même avec la circulation épouvantable de L.A. ! C’est quelque chose de typiquement allemand… mais c’est aussi pour ça que les Américains adorent les Allemands. Dans tous les hôtels et restaurants, il y a un manager allemand, parce que les Allemands sont très organisés.

Tom : Mon objectif principal est de créer mon propre pays. [rires]
Georg : Comment tu l’appellerais ?
Tom : Je ne sais pas.
Bill : Tu veux créer le pays parfait. J’aimerais créer la ville parfaite, ça serait déjà un bon début.
Tom : Je veux faire un pays, et prendre les meilleures choses de tous les autres pays pour en faire le pays parfait.
Georg : J’ai vu une photo d’une île qui ressemble à un pénis… Ça serait bien pour toi.
Tom : Ça serait bien, oui. « Le Royaume de Tom », ou quelque chose comme ça.

Quel a été votre moment préféré à L.A. ? Et quel endroit considérez-vous comme votre maison ?
Bill : Je pense que je pourrais déménager n’importe où dans le monde dès demain… et tant que j’ai mon chien, mon frère et ma famille, je me sentirai chez moi. Nous avons grandi en voyage, Tom et moi avons eu notre premier appartement alors que nous n’avions que 15 ans ! Puis nous avons vécu sur les routes pendant si longtemps… Je me sens très facilement à la maison. Pour le moment, je dirais que c’est Los Angeles ; mais ça peut changer.

Tom : Cela n’a rien à voir avec l’endroit, c’est notre sentiment qui est important.
Bill : J’adore la liberté que nous avons à L.A. ! Cela a beaucoup influencé l’album, de vivre une vie normale comparée à notre vie en Europe. Nous pouvions sortir, boire un café… nous nous sommes amusés, nous avons simplement vécu et cherché l’inspiration.

Je suppose que ça a dû être très rafraîchissant.
Bill : Ça l’était ! C’était tellement bien. La première fois que nous avons pu être seuls et nous débrouiller.

Quand vous retournez dans votre ville natale de Magdebourg, comment vous sentez-vous ?
Bill : C’est vraiment bizarre. Je me rappelle la première fois que j’y suis retourné, j’avais l’impression que c’était une vie totalement différente. Nous avons tellement changé… tout semble plus petit. Mais c’est peut-être juste parce que nous sommes plus grands maintenant. En tout cas, c’est bizarre.

Tom : Mais c’est la même chose pour tout le monde – tous ceux qui ont déménagé dans une autre ville et ont démarré une nouvelle vie doivent ressentir cela quand ils rentrent chez eux.
Bill : Mais je n’ai pas de connexion avec cette ville, ou avec l’école où je suis allé – je ne l’ai jamais eue, même quand nous y habitions. Les gens ont toujours eu une certaine fierté, s’enthousiasmaient pour l’école et ce genre de choses, mais je n’ai jamais voulu faire ça. J’avais l’impression de ne pas être à ma place.
Tom : C’est différent pour Gustav et Georg, ils vivent encore là-bas.
Georg : Oui, nous vivons toujours à Magdebourg.

Vous sentez-vous un peu déconnectés ? Vous avez tellement changé mais l’endroit est resté le même ?
Georg : Plus ou moins… [Tom rigole] mais nous voyageons beaucoup, donc pour moi c’est une bonne chose de pouvoir me reposer là-bas, me détendre. Je passe beaucoup de temps avec ma famille, je me promène avec mon chien. C’est l’équilibre parfait.

Notre époque devient de plus en plus numérique. Comment avez-vous géré l’importance croissante des réseaux sociaux, alors que vous vouliez vous cacher ?
Bill : Au début, nous ne faisions rien du tout. Pas de Facebook, pas de Twitter, rien. En fait, j’espérais que cela disparaîtrait rapidement.

Tom : Moi aussi, j’espérais que ça ne serait qu’une phase.
Bill : Nous avions vraiment besoin de protéger ce qu’il restait de notre vie privée. Je n’arrive pas à comprendre pourquoi les gens abandonnent quelque chose de si important aussi facilement. Mais cela a changé – aujourd’hui, tu dois prendre ça en compte, nous avons donc dû nous y confronter et nous avons appris à l’apprécier un peu. Il y a beaucoup d’avantages à utiliser les réseaux sociaux. C’est un moyen d’entrer directement en contact avec les fans, de communiquer sans que les tabloïds se mettent entre nous, et je trouve ça génial. J’utilise beaucoup Instagram aujourd’hui. Mais nous nous fixons quand même des limites – je n’arrive pas à croire ce que certaines personnes postent.

Quand Tokio Hotel a commencé à avoir du succès, toutes ces plateformes n’existaient quasiment pas encore. Êtes-vous contents de cela, surtout lorsqu’on voit la vitesse à laquelle vous avez perdu votre vie privée ?
Tom : Absolument.

Bill : Eh bien, quand nous avons commencé, toutes ces choses étaient encore assez nouvelles. Mais avec des projets comme Tokio Hotel TV, nous avons été l’un des premiers groupes à avoir un podcast quotidien. Et cela nous a aidés, les gens adoraient ça. Mais aujourd’hui, c’est très difficile ! Il y a tellement de personnes qui partagent leur musique et leur talent que c’en est presque impossible de devenir une star de YouTube, il me semble.
Tom : Tout s’est tellement emballé, c’est devenu plus difficile pour tout le monde. Il y a dix ans, quand nous avons joué au Japon, nous nous sommes dit : « Si nous nous plantons, personne en Europe ne le saura. » Mais aujourd’hui, si tu rates quelque chose, tout le monde le saura très vite !
Bill : Exactement ! Si je fais quelque chose sur scène et que j’allume ensuite mon téléphone après le concert, c’est déjà partout. C’est dingue.
Tom : Il y a des avantages, mais aussi des inconvénients. Dans l’ensemble, tout est devenu plus complexe. Et nous avons dû prendre cela en compte lors de la promotion de notre nouvel album. La télévision musicale n’existe plus vraiment aujourd’hui, les réseaux sociaux l’ont remplacée.

Mais cela ne nous affecte pas uniquement au niveau professionnel – comment cela vous-a-t-il affecté en tant que personnes, et non en tant que musiciens ? Comment gérez-vous vos relations personnelles ?
Bill : Je ne pense pas que cela m’ait changé. Non ? [Il regarde autour de lui. Les autres membres secouent la tête.] Tom est très ringard en ce qui concerne les téléphones, il ne l’utilise presque jamais et ne fait qu’appeler ou envoyer des sms. Il n’a même pas d’applications et ne suit aucun blog.

Tom : J’aimerais profiter de l’occasion pour faire de la pub pour mon compte Instagram. Il s’appelle « TOM KAULITZ », et je n’ai pas encore posté de photos – mais mon objectif est d’avoir plus d’abonnés que le reste du groupe sans poster de photos. Si j’atteins cet objectif, peut-être que je posterai enfin quelque chose.
Georg : Mais juste une photo.

Vous avez eu du succès très tôt et très rapidement – avez-vous l’impression d’avoir manqué certaines expériences ? Et y en a-t-il que vous êtes heureux d’avoir manquée ?
Bill : Nous avions une vie complètement différente – je suis très content de n’avoir plus été à l’école, parce que je déteste vraiment étudier et je voulais m’en aller. Donc je suis content de ne pas avoir dû faire des études stupides qui ne me plaisent pas.

Tom : Moi aussi – se lever très tôt le matin pour aller à l’école quand il pleut… Je suis content d’avoir manqué ça.
Bill : Mais d’un autre côté, nous étions toujours surveillés. Nous n’avions qu’un petit groupe de personnes en qui nous avions confiance et avec qui nous interagissions quotidiennement. Et nous avons eu des responsabilités très tôt – à 15 ans, je pensais être assez grand pour gérer cela et je voulais tout contrôler. Mais avec le recul, je pense que j’aurais dû attendre encore un peu, peut-être que toutes ces responsabilités étaient un peu trop lourdes à porter à cet âge-là. Si je pouvais revenir en arrière, je ferais ça différemment. Nous avons dû grandir trop vite.
Georg : Mais nous avons quand même vécu tellement de choses incroyables, nous avons voyagé partout…

Vous avez dit tout à l’heure que vous faites très attention avec ce que vous mettez sur Internet – pensez-vous que c’est pour prendre de la distance par rapport à toute cette pression que vous aviez quand vous étiez adolescents ?
Bill : Oui, un peu. Nous essayons de prendre de la distance, mais c’est difficile. C’est un métier très personnel, tu publies ta propre histoire, ta musique, et tout le monde peut la voir… Nous avons aussi subi beaucoup de haine.

Tom : C’est difficile de faire confiance aux gens. Nous avons découvert très tôt que nous ne pouvions pas faire confiance à beaucoup de personnes, et nous nous sommes alors isolés à cause de ça. À l’époque, si nous disions quelque chose à quelqu’un, ça se retrouvait dans les journaux le lendemain. Surtout quand nous étions jeunes – tout ce que nous buvions, toutes les filles avec qui nous passions la nuit… Nous nous sommes rendu compte que nous devions nous protéger. Et c’est ce que nous faisons encore aujourd’hui.

Je me rappelle qu’il y a eu des réactions très violentes, presque du harcèlement. Que diriez-vous à ces personnes aujourd’hui ?
Bill : Je dois dire que j’appréciais cela. C’est mieux que les gens aient une opinion négative que pas d’opinion du tout. J’étais déjà confronté à ce genre de réactions à l’école, quand je m’habillais différemment des autres ; et ça me plaisait, j’aimais en jouer et voir les réactions des gens. Quand j’y repense aujourd’hui, je me dis parfois : « J’aurais peut-être dû m’habiller différemment. » Mais je ne me suis jamais forcé, ça venait naturellement. En ce qui concerne la musique, c’était important pour nous de prouver notre valeur aux gens, surtout pour le deuxième album. Nous devions leur montrer que nous n’avons pas juste fait un tube grâce à la chance, mais que nous savons réellement jouer de nos instruments que nous pouvons percer en tant que groupe. Et je pense que nous avons réussi. Avec le troisième album, nous étions plus détendus, et nous ne pensions plus aux réactions des gens. Je pense qu’après 10 ans, nous n’avions plus besoin de prouver notre valeur et nous avons pu faire un album qui nous plait.

Bill, tu as toujours assumé tes goûts. Et aujourd’hui, beaucoup de tes traits de caractères sont non seulement acceptés, mais également célébrés. Penses-tu que cela te permet davantage d’être toi-même ? Et comment, en tant que groupe, gérez-vous cela ?
Bill : Le plus important pour nous est d’être authentiques. Je ne me suis jamais réellement intégré nulle part, je pense. C’est pour ça que je détestais aller à l’école… Je devais être libre, je déteste quand les gens me disent quoi faire. Et je ne le fait pas non plus – c’est important que les gens puissent s’exprimer, quoi qu’il arrive. Je ne dirais jamais à Gustav comment il doit s’habiller, par exemple.

Mais il y aura toujours des réactions négatives. Comment-vous protégez vous ?
Tom : Les gens célèbrent de plus en plus l’individualité aujourd’hui, et c’est donc plus facile qu’avant d’être soi-même. Mais nous n’avons jamais eu ce problème au sein du groupe. Nous faisions attention les uns aux autres, nous nous protégions mutuellement. Bill a exprimé ses goûts très jeune, comme peu de personnes l’auraient fait, et il avait donc parfois besoin qu’on le protège. Nous avons toujours été ensemble, à deux, avec le même avis. Même si nous n’avions pas d’amis, nous n’étions jamais seuls. Je ne sais pas où je serais sans lui.

Bill : Je n’étais jamais seul nulle part. Et je n’ai jamais eu peur des réactions des autres, parce que je savais que j’avais quelqu’un avec moi. Je me sens toujours en sécurité quand je suis avec eux… Je n’ai jamais eu peur du public quand nous étions ensemble.
Tom : Et croyez-moi, c’était parfois effrayant. Certains publics ont très mal réagi, surtout quand nous étions encore jeunes.
Bill : Ils nous jetaient des œufs !
Tom : Mais nous avons toujours été à quatre, fidèles les uns aux autres. Et nos fans nous ont bien sûr aidés. Nous avions besoin d’eux.

Être toujours ensemble, vous protéger mutuellement, faire toujours ce que vous voulez, quoi qu’il arrive – l’image de Tokio Hotel est devenue la lueur d’espoir pour les personnes brutalisées. Pour les exclus, pour les personnes qui s’habillent différemment. Vous devez en être fiers !
Bill : Chaque fois que je vois ça, même aujourd’hui, cela me rend très heureux. C’est la plus belle chose possible, inspirer les gens à réaliser leurs rêves, les pousser à vouloir être eux-mêmes. Cela me touche beaucoup, parce que c’est exactement ce que je veux faire.

Vous ne pouvez cependant pas atteindre tout le monde. Est-ce que cela vous fait parfois mal de penser qu’il y a des gens qui voudraient vraiment entrer en contact avec vous, qui ont besoin de votre aide, et qui ne peuvent vous atteindre, et vous ne pouvez pas les atteindre ?
Bill : C’est vrai qu’il y a aussi des gens que nous rendons tristes, parce qu’ils nous aiment depuis longtemps et veulent absolument nous rencontrer mais n’ont jamais l’occasion de nous voir ou de nous parler ; et ça les rend tristes. Je ne veux briser le cœur de personne, et c’est parfois très difficile, oui. Les gens nous respectent, peut-être même nous admirent… et je ne pourrai jamais réellement les rencontrer, même si je le voulais. Et ça me prend beaucoup d’énergie.

Avez-vous un message pour tous ceux qui vous écoutent ?
Bill : Nous espérons nous amuser beaucoup pendant cette tournée, et inspirer les gens. Nous avons hâte de revoir tout le monde, et de jouer dans de petites salles. Ça va être génial !

Êtes-vous contents d’être de retour ?
Bill : Très contents ! [Les autres hochent la tête avec enthousiasme.]

Traduction par *Elena*

New interview for Kaltblut Magazine: “Tokio Hotel: Cult Kids, All-Grown-Up”

“Love has no gender or religion, no borders” – Tokio Hotel told KALTBLUT as we chatted about their new album “Kings of Suburbia” [Island Records] and their upcoming world tour–“Feel It All: The Club Experience”–due to kick off in London next week. Inspired by the wanton debauchery of their newfound home in downtown L.A, Germany’s favourite lost boys Bill & Tom are finally all grown up–as are their teenage cult following–but do they still feel like aliens?

« L’amour n’a pas de sexe ou de religion, il n’a aucune frontière » – c’est ce qu’a dit Tokio Hotel à KALTBLUT pendant que nous discutions de leur nouvel album « Kings of Suburbia » [Island Records] et de leur nouvelle tournée mondiale – « Feel It All : The Club Experience » – qui sera lancée à Londres la semaine prochaine. Inspiré par la luxure gratuite de leur nouveau chez eux dans le centre de LA, les garçons égarés préférés d’Allemagne, Bill et Tom, ont finalement bien grandi – tout comme leur culte adolescent – mais se sentent-ils encore comme des extraterrestres ?

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Tokio Hotel during our interview – Berlin 23.02.15 Photo by www.the-impossible-project.com

If the latest visual offering for “Love Who Loves You Back” is anything to go by, they’re now 25-years-young, frequently dark corners in Berghain-esque nightclubs where the rules to which they could never succumb do not matter, in fact do not exist at all. As they encourage fans worldwide to revel in this delicious boundary-free sphere, will they finally plug the void which MySpace friends once used to fill?


Si la dernière offre visuelle pour « Love Who Loves You Back » a quelque chose à voir avec cela, ils sont maintenant des jeunes de 25 ans qui fréquentent souvent les coins sombres dans des discothèques similaires au Berghain, où les règles de ne jamais succomber n’ont pas d’importance et qui en réalité, n’existent pas. Comme ils encouragent les fans du monde entier à se délecter de cette délicieuse sphère anti-frontière, boucheront-ils enfin le vide que les amis de MySpace ont eu l’habitude de combler ?

KALTBLUT: How did you record the new album?

Bill: So Georg and Gustav were still living in our home town, they still live in Germany now. Me and Tom moved to L.A. so we weren’t working together all the time, but we got to meet in the studio together for band recordings and live recordings. They came to L.A. once in a while, other times we would go to meet them in Germany.

Tom: We’ve been in Germany too. We recorded in a lot of different studios. This record took us four years of work I think, and constantly being in the studio producing, songwriting. So at the end of the day it was a collection of four years of songwriting – we ended up recording in a lot of different places.

KALTBLUT: Four years is a really long time!

Bill: Yeah I know, but we were constantly working on it. We wrote a lot of songs. There were so many songs that didn’t end up on the record, and we’d rather put less songs on there so we could form the perfect album. We decided to put eleven tracks on in order to do that. We also wrote a lot of songs that we wrote for ourselves that we will save to offer to other artists as well. That’s something we wanted to do anyway, produce for other people too.

KALTBLUT : Comment avez-vous enregistré le nouvel album ?
Bill : Bien, Georg et Gustav vivaient encore dans notre ville natale, ils vivent toujours à l’heure actuelle en Allemagne. Tom et moi avons déménagé à LA, ce qui fait que nous n’avons pas travailler tout le temps ensemble, mais nous nous sommes tous réunis au studio pour les enregistrements du groupe et pour les enregistrements live. Ils sont de temps en temps venus à LA, et les autres fois, c’est nous qui allions à leur rencontre en Allemagne.
Tom : Nous avons aussi été en Allemagne. Nous avons enregistré dans beaucoup de studios différents. Cet album nous a pris quatre ans de travail je pense, et nous sommes constamment au studio pour la production et pour l’écriture de chansons. Donc, au bout du compte, il regroupe une collection de quatre années d’écriture de chansons – nous avons terminé l’enregistrement dans beaucoup d’endroits différents.

KALTBLUT : Quatre ans, c’est vraiment une longue période !
Bill : Oui je sais, mais nous avons travaillé constamment sur celui-ci. Nous avons écrit beaucoup de chansons. Il y a tellement de chansons qui n’ont pas été finie pour l’album, et nous avons préféré mettre moins de chansons dessus pour pouvoir constituer l’album parfait. Nous avons décidé d’y mettre onze chansons pour y parvenir. Nous avons aussi écrit un tas de chansons pour nous que nous allons garder et que nous allons aussi proposer à d’autres artistes. C’est quelque chose que nous voulons faire de toute façon, produire pour d’autres personnes.

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KALTBLUT: What kind of other artists are you thinking of?

Tom: Oh I don’t know, it’s like in general we enjoy good music, so at the end of the day I’m not thinking in any specific genre or anything like that. For me it’s like I can enjoy that it’s good production, no matter what type of music it is – I can enjoy a good pop song, a good rock song, I like every kind of music as long as it’s well made. I’m 100% open to new ideas.

KALTBLUT: It must be important to find a new direction after being together for so many years?

Bill: Oh yeah, definitely. Especially after the last album we needed a break and a change to get new inspiration because we didn’t know what we wanted to do music-wise. We’ve said it all, we’ve done it all, we were kind of like tired and didn’t know what to do. We didn’t just want to make another album that sounds the same. So we just thought we need to live our lives a little bit to get inspired.

KALTBLUT : A quel genre d’autres artistes pensez-vous ?
Tom : Oh, je ne sais pas, c’est en général. Nous aimons la bonne musique, donc au bout du compte, je ne pense à aucun genre particulier ou quelque chose comme ça. Pour moi, tant que je peux apprécier la production, le genre de musique n’a pas d’importance – je peux apprécier une bonne chanson pop, une bonne chanson rock, j’aime toutes les musiques tant que celle-ci est bien faite. Je suis 100 % ouvert aux nouvelles idées.

KALTBLUT : Est-ce important de trouver une nouvelle direction après avoir été ensemble pendant tant d’années ?
Bill : Oh oui, bien sûr. Surtout après le dernier album, nous avions besoin d’une pause et d’un changement pour trouver de nouvelles inspirations car nous ne savions pas ce que nous voulions faire question musique. Nous avons tout dit, nous avons tout fait, nous étions en quelque sorte fatigué et nous ne savions pas quoi faire. Nous ne voulions pas juste créer un autre album qui sonne de la même façon. Donc, nous avons pensé que nous devions un peu vivre nos vies pour retrouver l’inspiration.

KALTBLUT: Is that why you you decided to move over to L.A.?

Tom: Uh huh, yeah. At the time for me it was super hard to live here in Germany because of privacy reasons. We always had fans and people following us, we weren’t able to go out without having security. So each time we came off from a tour or wanted to get a break we were heavily guarded, it was like a prison. We couldn’t go out and get inspired! We really needed that change. We realised we have to have a life too. I guess when you’re young you don’t really realise. I remember we were coming home after three years of constant touring and I didn’t really know what to do because I had no life. When you’re constantly on the road you don’t realise it, but when you come home it hits you and then you can fall into a black hole. So the reason we went to L.A. was for personal reasons, and then we started to feel like we wanted to work on the record and take our time, be creative, not feel pressure from the label. We just wanted to write and work as producers.

KALTBLUT: Do you think that moving to L.A. and your experiences there shaped the new album?

Bill: For sure, we started a whole new life.

Tom: It totally worked out for us.

Bill: It was the best decision we could have made. I mean, we’re still psychos! But I think on a personal level, I don’t know what would have happened if we had stayed in Europe. It was one of the best decisions we ever made.

KALTBLUT : Est-ce pour cette raison que vous avez décidé de déménager à LA ?
Tom : Uh huh, oui. Pour moi à l’époque, ça a été très difficile de vivre ici, en Allemagne, pour des raisons d’intimité. Nous avons toujours eu fans et des gens qui nous suivent, nous ne pouvions plus sortir sans la sécurité. Donc, chaque fois que nous sortions d’une tournée ou que nous voulions une pause, nous étions très surveillé, c’était comme dans une prison. Nous ne pouvions pas sortir et trouver de l’inspiration ! Nous avions vraiment besoin de ce changement. Nous avons réalisé que nous devions aussi avoir une vie. Je pense que quand on est jeune, on ne réalise pas vraiment. Je me rappelle du moment où nous sommes rentrés chez nous après trois années de tournées non-stop et que je ne savais pas vraiment quoi faire car je n’avais pas de vie. Quand vous êtes constamment sur la route, vous ne réalisez pas cela, mais quand vous rentrez chez vous, ça vous frappe de plein fouet et après, vous pouvez tomber dans un trou noir. Donc, la raison pour laquelle nous sommes allés à LA était pour des raisons personnelles, et c’est par après que nous avons eu envie de travailler sur l’album et de prendre notre temps, d’être créatif, sans sentir la pression du label. Nous voulions juste écrire et travailler en tant que producteurs.

KALTBLUT : Pensez-vous que le déménagement à LA et vos expériences là-bas ont façonné le nouvel album ?
Bill : Bien sûr, nous avons commencé une toute nouvelle vie.
Tom : Ca a fini par fonctionner pour nous.
Bill : Ca a été la meilleure décision que nous ayons pu prendre. Je veux dire, nous sommes toujours dans la psychose ! Mais je pense que sur le plan personnel, je ne sais pas ce qui se serait produit si nous étions restés en Europe. Ca a été l’une des meilleures décisions que nous ayons prise.

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Tokio Hotel during our interview – Berlin 23.02.15 Photo by Lauren Raaijmakers 4 KALTBLUT www.laurenraaijmakers.nl

KALTBLUT: We were really surprised when we watched the video for “Love Who Loves You Back” – it almost feels like a typical Friday night out in Berlin! Were your new videos purposely intended to be provocative?

Bill: People asked us, because we released all three videos before the album came out and we got confronted with “Ah everything is so sexual!” and we didn’t even realise! Every time we make decisions it’s super spontaneous and out of pure instinct, so when we wrote those songs I already have a concept for the video in my mind. I always have a pretty keen idea of what I want to do and for “Love Who Loves You Back” I wanted to make that video for a long time, even when we were making the last album, but it just wasn’t the right director and it wasn’t the right song. I always had that idea, so when I wrote that song I just knew that the video was meant for that. The idea inspired by a movie called “Perfume” directed by Tom Tykwer. I wanted to take the idea into the video, but instead of perfume, we used music – because I feel that’s the message of the song. It’s like love has no gender or religion, no borders – and I just wanted to bring that across, also in a fun way. I feel like so many people are watching our videos so I wanted to do something like that.

KALTBLUT : Nous avons vraiment été surpris quand nous avons regardé le clip de « Love Who Loves You Back » – On dirait presque un vendredi soir à Berlin ! Est-ce fait exprès que vos nouveaux clips soient provocateurs ?
Bill : Les gens n’arrêtent pas de nous le demander. Nous avons sorti trois clips avant la sortie de l’album et nous avons dû faire face à des commentaires du genre : « Ah, tout est si sexuel ! », alors que nous ne l’avions même pas réalisé ! A chaque fois que nous prenons des décisions, c’est très spontané et instinctif, donc quand nous avons écrit ces chansons, j’avais déjà un concept dans ma tête pour le clip. J’ai toujours une idée assez développée de ce que je veux faire et pour « Love Who Loves You Back », je voulais faire ce clip depuis longtemps, il était déjà présent quand nous travaillions sur le dernier album, mais aucun réalisateur ne convenait et nous n’avions pas la bonne chanson. J’ai toujours eu cette idée, alors quand j’ai écrit cette chanson, je savais que le clip était fait pour elle. L’idée est inspirée du film « Le Parfum », qui a été réalisé par Tom Tykwer. Je voulais reprendre l’idée dans le clip, mais à la place du parfum, nous avons utilisé la musique – car j’ai le sentiment que c’est le message de la chanson. L’amour n’a pas de sexe ou de religion, il n’a aucune frontière – et je voulais simplement exprimer cela, d’une façon qui est aussi amusante. Tant de personnes regardent nos clips, donc j’ai voulu faire quelque chose comme ça.

KALTBLUT: So you guys are going on tour?

Bill: We have until the 5th and then we go to London. We are really excited, it’s going to be a great show. It’s a little nerve wracking because when you’ve worked on something for so long, you just want it to sound as good as it can be. Plus we’re a nervous band! We get like super nervous before each show, even after years!

Tom: Yeah I think it’s getting worse!

Bill: I don’t think we’re ever going to lose that. I think that’s maybe part of it, but especially if you have a new album and everything, you’re super nervous.

Tom: I wish it would be a little less.

Bill: Yeah but I’m good at working under pressure, most of the time I’m better.

KALTBLUT : Vous partez en tournée donc ?
Bill : Nous avons jusqu’au 5 [mars] et puis, nous nous rendons à Londres. Nous sommes vraiment excités, ça va être un très bon spectacle. C’est peu angoissant car quand vous avez travaillé sur quelque chose depuis très longtemps, vous voulez juste que ça soit aussi bon que possible. En plus, nous sommes un groupe nerveux ! Nous devenons très nerveux avant chaque concert, même après toutes ces années !
Tom : Oui, je pense que c’est de pire en pire.
Bill : Je ne pense pas que nous allons un jour voir disparaitre cela. Je pense que la tournée joue peut-être une partie dans notre nervosité. C’est surtout quand vous avez un nouvel album que vous êtes vraiment nerveux.
Tom : J’aimerais bien qu’elle soit un peu moins présente.
Bill : Oui, mais je suis bon quand il faut travailler sous la pression, la plupart du temps, je suis meilleur.

KALTBLUT: So we mentioned on our Twitter page that we would interview you guys, and have some questions from your fans!

Question #1 from Sandrine Tan: Which language is the most beautiful for you guys?

Tokio Hotel: Italian!

Bill: I love Italian people, I think they’re all beautiful inside and outside. They’re so pretty! It’s a super nice country, I love the whole culture, I love the food, the architecture. The language especially!

KALTBLUT : Bien, nous avons mentionné sur notre compte Twitter que nous allions vous interviewer, et nous avons des questions venant de vos fans !
Question n° 1 de Sandrine Tan : Quelle langue est la plus belle pour vous ?
Tokio Hotel : L’italien !
Bill : J’aime les personnes de nationalité italiennes, je pense qu’elles sont toutes belles tant à l’intérieur qu’à l’extérieur. Elles sont si mignonnes ! C’est un super beau pays, j’aime toute la culture, j’aime la nourriture, l’architecture. La langue surtout !

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Tokio Hotel during our interview – Berlin 23.02.15 Photo by Lauren Raaijmakers 4 KALTBLUT www.laurenraaijmakers.nl

Question #2 from Devyn: What music are you listening to lately?

Bill: Right now I love the song by Lenny called “Because I Love You”. It’s a cool song.

Tom: There’s another great song called “Shadow of the Sun” by Taped Rai. Like somebody will come across a cool song and then everybody goes and buys it!

Bill: We have to admit that we don’t really listen to that much music when we are so into our own stuff. When you are making music the whole time, like right now we are running a set or two sets every day which means we play almost 42 songs. By the end of a session like that you are so tired of listening to music because you are concentrating on your own for so long. I also think the new Ellie Goulding song is very good.

Question n° 2 de Devyn : Quelle musique avez-vous récemment écouté ?
Bill : En ce moment, j’aime la chanson de Lenny appelée « Because I Love You ». C’est une chouette chanson.
Tom : Il y a une autre très bonne chanson appelée « Shadow of the Sun » par Taped Rai. Quelqu’un va trouver par hasard une chanson sympa et puis, tout le monde l’achète !
Bill : Nous devons admettre que nous n’écoutons plus beaucoup de musique quand nous sommes à fond dans notre propre musique. Quand vous faites tout le temps de la musique, comme en ce moment, nous parcourons une à deux setlists chaque jour, ce qui signifie que nous jouons presque 42 chansons. A la fin d’une session comme celle-là, vous êtes tellement fatigués d’écouter de la musique car vous vous concentrez sur la votre depuis si longtemps. Je pense aussi que la nouvelle chanson d’Ellie Goulding est très bonne.

Cover FIA

FEEL IT ALL – EP  OUT MARCH 27th. 2015

Question #3 from Elizabeth Joseph: How long did Georg and Gustav know each other before meeting the twins?

Georg: It was not too long, it was like a year or something. We just clicked.

Tom: And it clicked especially when they saw us together in the club, like they wanted to join our band so bad! [Laughs]

Question #4 from Whitney: Which of your new songs are you most excited to perform live?

Bill: I think now that we are into rehearsals, the opening of the show is going to be great. I don’t want to give away which song that is! [Laughs] I really think “Stormy Weather” will be great live.

Gustav: I think “Masquerade” will be really good to play live.

Bill: “The Heart Get No Sleep” is going to be cool too.

Question n° 3 de d’Elizabeth Joseph : Avant de rencontrer les jumeaux, depuis combien de temps Georg et Gustav se connaissaient ?
Georg : Pas depuis très longtemps. Depuis un an environ. Ca a tout de suite accroché entre nous deux.
Tom : Et ça a surtout accroché quand ils nous ont vus ensemble dans le club, puisqu’ils voulaient vraiment se joindre à notre groupe ! [rit]
Question n° 4 de Whitney : Parmi vos nouvelles chansons, laquelle avez-vous le plus hâte de jouer en live ?
Bill : Maintenant que nous sommes dans les répétitions, je pense que l’ouverture du spectacle va être géniale. Je ne dirais pas de quelle chanson il s’agit ! [rit] Je pense vraiment que « Stormy Weather » sera géniale en live.

Gustav : Je pense que « Masquerade » sera un réel plaisir à jouer.
Bill : « The Heart Get No Sleep » va être chouette aussi.

Question #5 from @TokioHotelFans: What can the fans expect from the new live show and tour?

Bill: Now that we are in the process we are excited to finally share the record with people. It’s like performing it in front of people, you can see them and see how much they enjoy it.

Tom: They can expect a lot! We tried to fit a great production into small venues and we are going to bring a lot of new stuff to the tour. It’s going to be a really special show. We wanted to create something that’s not been done before.

Bill: So we tried a lot of things, we tried using a lot of different instruments that we are not used to playing; keys and piano. There is so much programming and processing and new technique that goes into the show that we have never done before. I don’t think anyone has done before! We have great lighting and video production, just a completely new concept that we’re really excited to share with our fans.

Tom: It’s a real project, it’s a project for us as well you know. Especially putting the music together and transporting that onto stage and using the different sounds in a fresh way. There are a lot of technical aspects in there and we have to rely on it as well, so we will have to see how it goes!

Question #6 from Shabnam Zareen: I am an ‘Alien’ from Bangladesh, would you ever come to my country?

Tom: I want to go there for sure!

Bill: I would love to! This year we are going to travel the whole world, we want to play everywhere so maybe we will go to Bangladesh!

Question n° 5 de @TokioHotelFans : Que peuvent attendre les fans du nouveau spectacle live et de la tournée ?
Bill : Maintenant que nous sommes dans le processus, nous sommes excités de partager enfin l’album avec les gens. En le jouant devant des gens, vous pouvez les voir et voir le plaisir qu’ils prennent en l’écoutant.
Tom : Ils peuvent s’attendre à beaucoup ! Nous avons essayé d’adapter une grande production dans de petites salles et nous apporterons beaucoup de nouvelles choses à la tournée. Ça va être un spectacle vraiment spécial. Nous avons voulu créer quelque chose qui n’a jamais été réalisé avant.
Bill : Donc, nous avons essayé beaucoup de choses, nous avons essayé d’utiliser une grande variété d’instruments que nous n’avons pas l’habitude de jouer ; le clavier et le piano. Il y a tellement de programmation, de traitement et de nouvelle technique que nous n’avons jamais utilisé dans le passé qui entre en jeu dans le spectacle. Je ne crois pas que quelqu’un ait fait cela avant ! Nous avons un super éclairage et une production vidéo, un tout nouveau concept que nous sommes vraiment heureux de partager avec nos fans.
Tom : C’est un vrai projet, c’est un projet pour nous aussi, vous savez. En particulier réunir la musique pour la transporter sur la scène et utiliser différents sons d’une nouvelle façon. Il y a beaucoup d’aspects techniques et nous devons compter sur celles-ci aussi, donc nous verrons comment ça ira !

Question n° 6 de Shabnam Zareen : Je suis un « Alien » du Bangladesh, viendrez-vous un jour dans mon pays ?
Tom : Je veux vraiment y aller !
Bill : J’aimerais y aller ! Cette année, nous allons voyager dans le monde entier, nous voulons jouer partout, donc nous irons peut-être au Bangladesh !

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 Source: Kaltblut-magazine.com

Traduction française par Prinz16

New single out soon: Feel it All

Andrew Brawl designed the single cover for ‘Feel It All’ by Tokio Hotel. It is inspired by ‘kids’, a film by Larry Clark. The single will be released on April 3rd. It will feature 5 tracks: 1. FIA – Main version – 2. FIA – Live New Years Version – 3. FIA – Pioneer Remix – 4. LWLYB – Pioneer Remix – 5. LWLYB – Cazzette Remix. You can preorder it here on Amazon.de.

Ps: Tokio Hotel will be going on tour again this summer, with the world’s largest and most successful artist agency: William Morris Agency (WME)

Andrew Brawl a fait le design du cover du nouveau single “Feel it All” de Tokio Hotel. La pochette est inspirée du film “kids” par Larry Clark. Le single sortira le 3 avril prochain. Vous pouvez le précommander ici. Plus de détails ci-dessous.

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Via Universal – Reprise de « Run, Run, Run » par Kelly Clarkson

Kelly Clarkson et John Legend reprennent la chanson de Tokio Hotel « Run, Run, Run » / Contrat signé avec William Morris Endeavor. / Nouveau single « Feel It All » le 3 avril 2015.

Le printemps 2015 est placé sous le signe de Tokio Hotel. Bill (25 ans), Tom (25 ans), Gustav (26 ans) et Georg (27 ans) ont eu l’honneur de voir la détentrice d’un Grammy Kelly Clarkson reprendre leur chanson « Run, Run, Run » sur son album à paraître en mars. Pour l’accompagner sur cette interprétation, la gagnante de trois Grammy a choisi John Legend, récemment couronné d’un Oscar. Une vraie sensation ! Ensuite, presqu’au même moment, les Tokio Hotel ont signé un contrat de représentations internationales avec l’agence artistique la plus célèbre du monde : William Morris Endeavor Entertainment (WME représente des artistes tels que Pharell Williams, Lady Gaga, Timo Maas). Le 6 mars, les Tokio Hotel entameront à Londres leur tournée mondiale avec leur nouveau concept, « Feel It All – Part I – The Club Experience ». Et le 3 avril sortira le nouvel EP « Feel It All », avec la chanson du même nom, deuxième single de leur album « Kings of Suburbia ».

Le titre entraînant « Feel It All » donne non seulement son nom à la tournée, mais en donne également le ton. Cette tournée exclusive passera en mars par quinze villes européennes, avant de continuer dans le reste du monde en été, avec WME. « Feel It All » représente le sentiment que l’on a quand on ne veut pas que la fête s’arrête, quand on ne veut pas rentrer chez soi. Quand on voudrait que la nuit ne finisse jamais.

Il est donc logique que « Feel It All » ait vu le jour lors d’une « after-party » dans le studio personnel de Bill et Tom Kaulitz, un matin à deux heures, dans les Hills de L.A. « Il était encore tôt et nous voulions absolument continuer à faire la fête », se souvient Bill. « J’ai toujours des difficultés à arrêter quand je me sens vraiment bien et que tout se passe bien – qu’il y a les bonnes personnes, la bonne musique, assez à boire et tout ce que l’on trouve dans ce genre de fêtes. Tout est parfait. Et je ne veux simplement pas que ça se termine, même quand le soleil commence à se lever à l’horizon. » L’ambiance de la chanson est celle de l’« after » – toujours dans le club, toujours danser, mais plus aussi fort. Un rythme entraînant, mais plus doux – on veut continuer à danser, mais le son ne s’impose plus autant, ne fait plus si mal. Bill associe également à « Feel It All » tout le spectre des sensations : « Pour moi, il s’agit vraiment de tout ressentir : le bon et le mauvais, la lumière et l’obscurité, l’amour et la haine, la dépendance et la liberté. Cela me rappelle mon film préféré « Kids », qui représente parfaitement cette diversité et cette proximité que l’on retrouve entre l’amour et la haine, l’espoir et le désespoir, la quête et la dépendance. Cela m’a accompagné toute ma vie – quand j’avais 13 ans, je passais déjà des nuits entières dehors avec mes amis, je m’évadais de mon quotidien, loin de la maison et de la tristesse. Je connais ce besoin de liberté, de rébellion, contre les règles et le système. » Et c’est ainsi que « Feel It All » est devenu également un hommage à ce film des années ’90 – non seulement dans son contenu, mais surtout visuellement, avec sa couverture et sa vidéo tournée à Berlin, dans laquelle Bill nous emmène dans les profondeurs de la nuit.

Et pourtant, « Feel It All » a bien failli ne pas exister ! Tom révèle : « La première version a vu le jour assez vite. C’était un de ces titres qui arrivent comme ça, droit de nos émotions. Et quand la chanson a dû être transmise aux producteurs, plus personne ne retrouvait les données originales. Nous n’avons sans doute pas fait attention lors des enregistrements, et nous n’avons alors pas eu d’autre choix que d’envoyer simplement le fichier MP3, que nous avions encore. »

L’EP contiendra cinq titres. En plus de la version principale, on y trouvera également la version live du Nouvel An et le remix de « Feel It All » par Pioneer. Les remix de « LWLYB » par Pioneer et par Cazzette, un des duos de DJ les plus célèbres actuellement, se trouveront également sur l’EP. Toute une série de titres cool et excitants, qui donnent un avant-goût parfait pour l’expérience « Club » de la tournée, que Bill, Tom, Gustav et Georg présenteront à partir du 6 mars dans un cadre restreint et exclusif.

Aperçu du EP « Feel It All » :
-« Feel It All » – Version principale
-« Feel It All » – Version live du Nouvel An
-« Feel It All » – Remix Pioneer
-« Love Who Loves You Back » – Remix Pioneer
-« Love Who Loves You Back » – Remix Cazzette

Concerts : Feel It All – Part I – The Club Experience
-06.03., Assembly Hall, Londres, GB
-08.03., Bikini, Barcelone, Espagne
-09.03., Le Moulin, Marseille, France
-11.03., Le Trianon, Paris, France
-12.03., Cirque Royal, Bruxelles, Belgique
-14.03., Gibson, Francfort, Allemagne
-15.03., Volkshaus, Zurich, Suisse
-17.03., Fabrique, Milan, Italie
-18.03., Kesselhaus, Munich, Allemagne
-20.03., Halle, Tor 2, Cologne, Allemagne
-21.03., Tivoli Vreedenburg, Utrecht, Pays-Bas
-23.03., Heimathafen, Berlin, Allemagne
-24.03., Kulturkirche, Hambourg, Allemagne
-26.03., Arena, Vienne, Autriche
-27.03., Club Stodola, Varsovie, Pologne

Traduction par *Elena*

Source: Universal

Tokio Hotel TV 2015 – Episode #4: Where The Magic Happens

Bill : Je ne sais rien faire !

Bill : Bien, nous y voici ! Je vais vous faire un peu visiter et vous montrer où nous répétons en ce moment pour notre tournée « Feel It All » hm… Suivez-moi afin que je vous fasse visiter l’endroit.
Tout est en train de se préparer, nous avons tous nos flight cases ici. Les guitares de tout le monde sont en train d’être inspectées et par là-bas, nous avons un petit espace réservé à la musculation, où nous faisons un peu d’exercice, chose que je ne fais pas trop comme vous pouvez le voir, mais hm… je devrais ! Mais Tom et Georg s’y exercent parfois.
Et c’est ici que la magie a lieu ! (Georg rit) Nous y voilà ! C’est notre petit espace privé. C’est ici que toute la pré-production a lieu, où nous arrangeons les chansons et où nous répétions entre nous. Nous avons notre petit espace ici, où se trouve tous nos instruments.
Ici, c’est où nous nous détendons. Nous avons une petite télé, un petit espace pour le canapé.
Donc, je peux vous montrer très rapidement ma chambre. C’est très petit, il n’y a qu’un lit. J’ai beaucoup de vêtements et diverses affaires car Tom et moi devons prendre beaucoup de choses avec nous car nous ne vivons plus en Allemagne ! Donc, nous prenons beaucoup de bagages et beaucoup de vêtements et affaires et c’est un peu le bordel mais on s’en sort. C’est juste très petit.
Bien sûr, nous avons quelques salle de bains, donc nous avons plusieurs toilettes et plusieurs douches car nous devons tous nous préparer et puis parfois le matin ou après une répétition, il faut être très rapide, donc nous en avons plusieurs, de cette façon, nous ne devons pas trop partager. Tout est assez… en bordel ! Car nous sommes tous des garçons et que personne ne nettoie. Non, Georg nettoie beaucoup je dois dire. Voici notre petit coin cuisine.
Georg : C’est la chose la plus importante ici.
Bill : La chose le plus importante : Avoir du café. Je dois avouer que nous ne cuisinons pas vraiment, donc nous commandons la plupart du temps, mais nous avons pleins de cochonneries dans l’armoire. Donc le matin, nous avons l’habitude de prendre le petit-déjeuner à cette table, nous vérifions nos mails, nous parcourons notre emploi du temps de la journée et nous parlons des choses que nous allons faire.
Ici c’est un peu le coin le plus important de Tom. Tom fait aussi toute la pré-production pour l’ensemble de la prestation, donc il a arrangé beaucoup de choses sur l’ordinateur et il y a beaucoup de technologique qui y est impliquée, laquelle est bien plus présente que sur les autres tournées. Ca constitue juste beaucoup de choses. Je n’y connais rien, je dois juste chanter, ce qui est une bonne chose. Gustav a commandé une imposante batterie.
Gustav : Et je dois dire : j’utilise tout. J’utilise vraiment tout !
Bill : Il utilise tout, donc…
Gustav : Tout ! Juste une fois sur une chanson, mais j’utilise tout !
Bill : Tu as vraiment besoin de cette imposante batterie, donc hm… ouais, elle est énorme mais la pièce où elle se trouve est géniale car nous n’entendons rien à l’extérieur. Nous ne travaillons qu’avec nos oreillettes « In-ear », donc c’est le parfait arrangement pour répéter les chansons et pour tout arranger….

Bill : « Feel it all – Don’t look back – Just let it go – Oh oh oh – A new day is coming – Oh oh oh – The time is now – Oh oh oh – A new day is coming – Oh oh oh – The time is now – You and I – … »

Bill : Je pense que nous étions tous un peu nerveux au départ car nous ne savions pas… Quand tu produis un l’album, et surtout avec un album comme celui-ci, tu ne sais pas si ça va fonctionner en live ! Je pense que lors du processus, nous nous sommes sentis de plus en plus à l’aise et excités à l’idée de partir en tournée, et de la faire, puisque nous avons constaté que ça fonctionnait aussi en live ! Nous sommes en train d’essayer beaucoup de nouvelles choses et tout le monde est en train de sortir de sa zone de confort. Tout le monde est en train de jouer de nouveaux instruments, comme de la batterie et du clavier. Nous avons beaucoup de nouvelles choses ! Je pense que personne parmi nous ne joue que de son propre instrument, je veux dire par là que Georg joue de la batterie, de la basse bien sûr et du clavier. C’est juste beaucoup de choses que chacun doit apprendre et pour lesquelles il doit être à l’aise. Tom joue du piano aussi. C’est dingue ! C’est si drôle car c’est vraiment en dehors de la zone de confort de Georg. Il est en train d’essayer quelque chose de nouveau. Je pense que c’est vraiment, vraiment drôle et que c’est vraiment amusant pour chacun de faire cela. En particulier Pumba, qui adore ça. Il est tellement surexcité quand les gens font quelque chose avec leurs mains ou qu’ils font quelque chose avec leurs pieds, il pense toujours que c’est destiné à lui et il veut jouer. Donc il ne fait pas vraiment la différence entre quelqu’un qui joue avec lui et quelqu’un qui joue d’un instrument et qui fait autre chose, donc à chaque fois, il est tout excité.

Tom : Georg !

Bill : Lors du processus, je pense que nous avons découvert que tout sonnait bien et que ça fonctionnait vraiment. C’est… c’est beaucoup d’amusant !

Georg : Petit homme… grande batterie.

Bill : Gustav a une imposante batterie. Quand il l’a commandé, personne se doutait qu’elle serait de ce gabarit. Nous avons en quelque sorte prévu de la démonter pour la mise en situation du club car nous n’avons pas beaucoup d’espace. Et bien sûr, il en a besoin !
Gustav est… je veux dire, il aime jouer de la batterie. Dès qu’il a quelque chose comme ça et qu’il prépare sa batterie pour la tournée, alors il devient tout excité et il…
Gustav : Votre café, sire.
Bill : Oh, merci beaucoup.
Gustav : De rien.

Bill : J’ai le sentiment que dès que Gustav est derrière sa batterie, c’est difficile pour lui de ne pas jouer.

Gustav : C’est comme travailler à la télé. Tu dois attendre la moitié du temps le magnifique guitariste et le fabuleux bassiste.
Tut tut tut…

Bill : « It’s coming up, coming up everywhere – It is a stormy weather – It is a stormy weather – It is a stormy weather – It is a stormy weather – It is a stormy weather – Weather – Weather – Stormy weather – It is a stormy weather – Weather – Weather – Weather – Stormy weather… »

Bill : Je pense qu’il y a pleins de choses que nous faisons et qui n’ont jamais été faites avant en live sur scène. Nous avons aussi trouver des moyens que nous ne connaissions même pas quand nous sommes revenus ici. Nous venons donc de tout découvrir et nous avons appris à les utiliser. Nous avons un ordinateur supplémentaire pour le traitement de la voix. Nous utilisons des effets live que nous avons utiliser au studio pour recréé le son live. Ca reste bien sûr un peu différent mais nous essayons de recréer le son exact que nous avons utiliser au studio afin de rendre celui-ci incroyable.

Bill : « In a masquerade of heroes – You don’t know what life is – Until you die for it – In a masquerade of heroes… »

Bill : Avant de pouvoir réellement jouer une chanson, ça prend pas mal de temps. Pour moi, c’est beaucoup de patience car je n’ai même pas besoin de répéter autant que les autres garçons car c’est facile et rapide puisque j’apprends vite. (rit)

Tom : Non, non , non.

Bill : Comme je l’ai dit précédemment, c’est très difficile pour cette tournée car chacun a d’autres choses à faire car nous n’avons en fait pas assez de musiciens pour jouer les chansons, donc… le problème avec « Invaded » par exemple, c’est que Tom doit jouer du piano et qu’il faut aussi quelqu’un pour jouer de la guitare. Il a alors dit : « Oh, c’est très facile. Bill, tu pourrais peut-être me remplacer », et j’ai pensé que ça serait amusant d’essayer d’y jouer et Tom a dit : « Ok. Il faut que tu apprennes, ça va être très facile ». Il me l’a montré et je suis… je veux dire, je suis juste… je suis… Pour moi c’est vraiment difficile d’apprendre quelque chose comme cela et en plus, je n’ai aucune patience, donc… j’essaie une fois et si ça rate, je ne peux plus le faire.

Bill : Je n’y arrive pas du tout !
Tom : Regarde… avec ça, tu as besoin…
Bill : Je ne serais jamais capable d’y arriver.

Bill : Je ne sais rien faire sur une guitare puisque je n’ai jamais jouer de la guitare, donc… Il me l’a montré et j’ai essayé quelques fois et après, je lui ai dit : « Non, je ne vais pas le faire ». (rit)

Bill : Tom, je n’y arriverai jamais ! Je n’arrive pas à jouer. Oublie ça.
Oh, je n’y arrive pas… j’ai besoin d’une pause maintenant.

Bill : « Of the new world – Belonging nowhere – Happy New Year… »

Bill : Nous sommes très excités et nous sommes très, très, très nerveux. Je veux dire, nous avons en quelque sorte dit : « Oh, avant le premier concert, nous ferons pipi dans nos pantalons » et que nous allons être… et que nous allons être vraiment nerveux ! J’ai hâte de voir les fans et de voir leurs réactions, si ils aiment le concert, que nous allons jouer ensemble, juste nous quatre. Dans l’ensemble, je pense qu’être ensemble dans cette salle de répétition et jouer les chansons nous rend tous très, très excités et hm… nous sommes heureux ! Nous sommes simplement heureux de mettre en place un concert et d’aller… et d’être à nouveau sur une scène !

Gustav : Santé !

Bill : Salut, si vous n’avez pas obtenu de billets car les concerts étaient complets : nous nous sommes arrangés ! Nous avons parlé à la production et nous avons mis à votre disposition de nouveaux billets pour certaines villes. Vous pourrez donc encore en obtenir pour la ville de votre choix. Rendez-vous sur http://www.TokioHotel.com et faites des recherches sur Internet, peut-être que vous aurez la chance de décrocher le dernier billet et comme ça, nous vous verrons sur la tournée. Nous sommes vraiment excités et c’est presque le moment. Nous nous voyons là-bas !

Traduction par Prinz16

Valentine’s Day & LWLYB remixes

Happy Valentine’s Day everyone! As you probably know, the two remixes of LWLYB are released today. You can buy CAZZETTE’s one right HERE & PIONEAR’s one right THERE! I hope you will enjoy both and that you will have an amazing day with your beloved ones.

Joyeuse St-Valentin tout le monde! Comme vous le savez probablement, les deux remix de LWLYB sortent aujourd’hui. Vous pouvez acheter celui de CAZZETTE juste ICI et celui de PIONEAR juste! J’espère que vous apprécierez les deux et que vous allez passer une excellente journée avec les personnes que vous aimez.

https://soundcloud.com/decodeltd/tokio-hotel-vs-cazzette-lwlyb-cazzette-remix-preview

https://soundcloud.com/decodeltd/tokio-hotel-vs-pionear-lwlyb-pionear-and-kyle-tree-remix

Georg Listing on Instagram: Happy Valentine’s Day! ❤️ #love

Georg Listing sur Instagram: Joyeuse St-Valentin!❤️  #amour

Bill Kaulitz on Instagram: valentine mornings

Bill Kaulitz sur Instagram: matins de valentin

Tokio Hotel TV 2015 – Episode #2 : The Viper Room

4 jours avant le concert.

Bill : Nous sommes à LA, à Glendale plus précisément. Nous sommes dans cette nouvelle salle afin de répéter pour quelques performances, et la semaine prochaine, nous aurons quelques rendez-vous pour la télé et après, nous aurons un petit showcase, genre un concert secret, et hm… oui, nous sommes en train de répéter toutes les chansons.

4 jours plus tard.

Georg : Nous sommes au « Viper Room » et nous sommes sur le point de faire les balances. Nous sommes en train de tout préparer maintenant et nous attendons Bill et Tom, comme toujours. Je suis en train de créer une publication sur Instagram et, ouais… nous attendons, nous attendons, nous attendons.

15hrs07

Fans : Oh mon Dieu !
Bill : Salut !

Bill : C’est si petit. J’ignorais que c’était comme ça. Je pensais que c’était bien plus grand.
Tom : Quelle est sa capacité ?
Shiro : Pour 250 personnes.
Bill : Quoi ?
Shiro : Oui, les gens vont être comme des sardines. Serrés !

Fan : Je suis ici pour voir Bill et Tokio Hotel ! Je suis fan depuis 2007. Je les ai découvert sur Internet et c’est comme un rêve devenu réalité.

18hrs14

Fan : Nous venons de Russie. Nous vivons à Los Angeles et ça va être la première fois que nous allons à leur concert, nous ne les avons jamais vu en concert. Nous sommes tellement excitées et leur dernier album est tout simplement une tuerie ! Et nous… nous avons hâte de les écouter en live et c’est une super opportunité que vous nous avez donné.

Tom : Ca a été un choix plutôt difficile, de jouer juste après Berlin… combien de personne y avait-il là-bas ? Pas loin d’un million de personne.
Une semaine plus tard, nous avons joué au « Viper Room » pour 250 personnes je pense.
Bill : Oui, c’était bien différent…
Gustav : C’était bien différent.
Tom : C’était marrant ! Je veux dire, j’ai apprécié les deux ! C’était évidemment…
Georg : C’était totalement différent.
Tom : De voir près d’un million de personne en face de la scène, et jouer avec une grande production est… est quelque chose que nous avons fait une poignée de fois au cours de notre carrière, ce qui est une bénédiction. C’est toujours formidable de faire cela et c’est toujours un sentiment incroyable, surtout avec de nouvelles chansons je pense. Et jouer une chanson telle que « Feel It All » devant tant de personnes est quelque chose que je tenais absolument à faire, mais en même temps, nous avons préparé une très belle setlist pour le concert au « Viper Room » et nous avons joué pour un tout petit nombre de personnes. Il y avait une atmosphère vraiment chouette, je pense que toutes les personnes présentent étaient de bonne humeur et… nous avons joué, je pense, cinq chansons et nous en avons rajouté une ancienne de notre précédent album, et tout le monde a passé un bon moment ! Je pense que c’était vraiment chouette !

19hrs47

Bill : Non, nous allons rencontrer quelques fans et allons signer quelques autographes avec les fans ayant en dessous de 21 ans, puisqu’ils ne sont pas autorisés à venir voir le concert, ce qui craint, mais…
Tom : Oh, ils ne peuvent pas voir le concert ?!
Bill : Non, ils ne peuvent pas.
Georg : Non, ils ne sont pas autorisés à y aller.
Tom : Donc, ils veulent juste… un autographe ?
Bill et Georg : Oui.
Tom : Alors, nous devrions aussi faire des photos avec eux, non ?
Georg : Oui.
Bill : C’est parti !

Shiro : Un à la fois, s’il vous plait !

Fan : Je vous aime depuis toujours et j’ai enfin la chance de vous voir !

Fan : Oh mon Dieu ! Je vais me faire pipi dessus ! Oh mon Dieu.

Fan : Je n’aurais jamais pensé vous voir en personne.
Bill : Salut !
Fan : Salut Bill ! Vous êtes si beaux !

Fan : Puis-je avoir une photo avec vous ?
Bill et Tom : Bien sûr !
Fan (à Tom) : Peux-tu… ?
Tom : Je vais le tenir, oui.

Fan : Oh mon Dieu ! Merci beaucoup.

Tom : Attends, tu es venue de Russie ?
Fan : Oui.
Tom : Wow, c’est un long voyage !
Fan : Oui.

Bill : Quelqu’un veut enfin avoir une photo avec eux ! (rires)
Fan : Ils sont aussi formidables !
Georg : Je t’aime Bill.
Bill : Je t’aime aussi.

Fan : Merci beaucoup.
Tom : De rien.

Fan : On peut voir mes sous-vêtements.
Tom : Oh, c’est bon !
Fan : Câlins ?
Tom : Oui, bien sûr !
Fan : Je t’aime !
Tom : Ca a été un plaisir de te voir.
Fan : Je t’aime !
Bill : Merci !
Fan (à Georg et Gustav) : Je vous aime aussi !
Tom : Pas autant, mais un peu ! (rires)

21hrs38

Bill : « What’s real we have to squint to see – Lean in closer next to me – Count to three and lose control – If you like it let me know »
Fan : J’ADORE !
Bill : « There’s a call in the wild – There’s a snake in your bed – And it’s telling you something – Listen ! – Yeah I like it like that – When you’re feeling lonely – Girl, help yourself – Do whatever you desire – Go throw your arrows – Hit her heart – If they don’t feel right – Love who loves you back – It’s a perfect storm… »

« … Love in you – So why do I – Keep loving you? – Automatic ».
Bill : Merci beaucoup d’être venu ! Merci !

Bill : Ca a été si chaud sur scène.
Shiro : Très bon boulot les gars !
Tom : C’était bon !

Bill : Santé !
Tom : Tschüss !
Georg : Tschüss !
Tom : En Allemagne, nous disons « Tschüss » pour « Santé » !

Georg : Ca tourne !
Tom : Tu es en train de tourner ? Très bien ! Nous avons fini. Nous sommes en train de tout emballer, Georg a emballé mes guitares…
Georg : Oui.
Tom : … et… poses-y de nouvelles cordes pour le prochain concert, de nouvelles batteries et tout ça.
Georg : Ca a été un très bon concert !
Tom : Ca a été un très bon concert !
Georg : Tom s’est trompé sur pas mal de notes.
Tom : Non, j’étais très bon. J’étais formidable. Et… ouais ! Voilà ! Ca a été une longue journée. il est temps d’aller au lit maintenant !
Georg : Ou se rendre à une petite soirée peut-être ?
Tom : Oui, peut-être qu’on fera ça.

Traduction par Prinz16

New interview for HitFix !

Katie Hasty : Nous sommes ici aujourd’hui pour parler avec Tokio Hotel. Je dois vous poser cette question : Vous avez jouer devant un public composé d’un million de personnes à Berlin et la nuit dernière, quand je vous ai vu ici jouer au « Viper Room » de Los Angeles, vous avez jouer devant… environ 200 personnes…
Bill : Oui (rit).
Katie Hasty : Préféreriez-vous jouer dans une salle de 20 personnes, dans une salle de 2 000 personnes ou dans une salle de 20 000 personnes ?
Bill : Hm… je choisirais probablement la grande salle.
Gustav : Oui. Oui.
Katie Hasty : La plus grande salle possible ?
Bill : La plus grande salle possible sur le long terme, mais j’ai l’impression, vous savez, que les concerts plus petits, comme celui-là, reste toujours un plaisir, donc… hm… je veux dire, j’aime… je veux dire, nous aimons toujours jouer, nous aimons être sur de grandes scènes devant une énorme foule mais hm… c’est vraiment agréable de jouer devant une foule intime composer de quelques personnes, c’est tout simplement différent, vous pouvez même comparer cela et la nuit dernière, nous avons eu un concert en acoustique.
Gustav : Oui.
Bill : C’était amusant. C’était juste différent et amusant et la première partie de notre tournée se fera aussi dans de petites salles et nous allons transformer tout ça en club et en boite de nuit et nous allons emmené tous nos fans dans une soirée, donc, je pense que ça va être amusant, ça va être une toute nouvelle expérience et hm… oui.
Katie Hasty : Avez-vous un quelconque rituel avant de monter sur scène ? Faites-vous quelque chose pour calmer les nerfs et être serein ?
Bill : Bien hm… nous sommes tous ensemble dans une salle dans les coulisses et c’est là que nous devenons super nerveux, donc chacun d’entre nous est surexcité…
Gustav : Nous devenons nerveux ensemble.
Bill : Nous devenons nerveux ensemble et puis, c’est… c’est la folie et nous voulons… tout le monde veut sortir de la salle car nous sommes tellement gamins et tellement idiots et c’est tout simplement stupide ! Et ensuite, juste avant le concert, nous activons nos – ce qui est très kitsch aussi – (Gustav rit) nous activons notre pouvoir de Power Ranger, donc nous mettons nos mains ensemble et nous activons nos pouvoirs, je ne sais pas, c’est quelque chose que nous faisons à chaque fois.
Katie Hasty : Ca change quelque chose quand vous dites que vous activez vos pouvoirs de Power Rangers ?
Bill : Non. Nous le faisons à chaque fois, nous disons : « Activons nos pouvoirs de Power Ranger – Activé ! », et c’est tout !
Gustav : C’est ça !
Katie Hasty : Faites-vous la même chose quand vous vous rendez au studio ?
Bill : Non, nous ne le faisons que quand nous jouons un concert. Au studio, c’est bien plus détendu. Parfois, nous n’y faisons rien. Il y a des jours où nous trainons simplement et… vous voulez écrire une chanson, faire quelque mais il n’y a rien qui se passe, alors nous commandons une pizza… nous sommes en quelque sort paresseux.
Gustav : Nous sommes très paresseux.
Bill : Oui. Au studio ou dans la salle de répétition… à chaque fois que nous y allons pour préparer quelque chose, nous finissons par regarder la télé, par commander de la nourriture et…
Gustav : Nous fumons.
Bill : Nous fumons, oui.
Gustav : Nous fumons, nous mangeons, nous dormons.
Katie Hasty : Qu’est-ce que vous avez ressenti quand vous avez entendu pour la première fois votre chanson à la radio ?
Bill : En fait, c’est drôle car… quand notre premier single est sorti, personne ne le jouait à la radio, pas même en Europe. Personne ne le jouait et il a fallut un certain temps avant que ça ne change… en fait, pour cet album…
Gustav : Pour cet album…
Bill : Ca a été la première fois…
Gustav : La première fois, oui.
Bill : … que nous avons entendu notre chanson à la radio car en général, les gens devaient regarder le clip sur Internet pour pouvoir l’écouter. Nous avons eu quelques chansons à succès même si personne ne les jouaient à la radio.
Gustav : La première fois que nous avons entendu notre chanson était à Berlin je crois, quand nous étions en train de promouvoir notre tournée.
Bill : Oui, c’est exact.
Gustav : Dans la voiture.
Bill : Nous étions dans la voiture quand nous avons entendu notre chanson « Love Who Loves You Back ». C’était vraiment excitant.
Katie Hasty : Maintenant que nous sommes dans la partie « compilation de chansons », pouvez-vous recommander à notre public trois chansons pour lesquelles vous dites : « Il faut vraiment les écouter ! » ?
Bill : Très bien. C’est très difficile. Je dirais… je ne connais pas son nom, ça doit être « Ki », « Kia »…
Katie Hasty : Kiesza ?
Bill : Kiesza ? Oui ! J’aime beaucoup son album. Je veux dire… « Hideaway » est probablement la chanson que tout le monde a déjà entendu car… je veux dire, allez écouter l’album car il y a de très bonnes chansons dessus et laissez-moi voir…
Gustav : Pour moi, c’est Joe Bonamassa avec la chanson « Mountain Time ».
Bill : Oh, et puis, vous devez écouter « Do It Again » de Robyn. C’est vraiment une bonne chanson.
Katie Hasty : Très bien. Avec Röyksopp.
Bill : Oui.
Katie Hasty : Un très bon gars.
Bill : Oui.
Katie Hasty : Quand vous voyagez… je veux dire, vous êtes comme une petite famille et vous voyagez comme une famille pendant la tournée. Quelle est la première chose pour laquelle vous vous battez ?
Tom : Je ne sais pas. Je veux dire… je me bats la plupart du temps avec Bill car nous nous disputons pour à peu près tout. Il faut dire que nous sommes jumeaux, donc nous avons tous les deux une très forte opinion, donc quand nous avons la même opinion, c’est bien et c’est vraiment mauvais pour tous les autres, mais si nous avons une opinion différente, ça devient très pénible.
Georg : Ne vous mettez pas entre eux.
Tom : Exactement.
Georg : C’est très dangereux.
Tom : Ca peut partir de n’importe quoi. Je veux dire… je ne sais pas… vous savez, la plupart du…
Georg : Le café le matin par exemple.
Tom : Le café le matin et… et beaucoup par rapport au groupe, par rapport à ce que nous devons faire, et si nous devons faire cette interview ici… vous voyez le genre. (rit)
Katie Hasty : Oui, je vois.
Georg : C’est toi qui a essayé en réalité. (rient)
Tom : Ouais, j’ai essayé.
Katie Hasty : Oh, très bien. Je pensais que c’était : « il faut vraiment faire cette interview » (Tom rit). La nuit dernière, je vous ai vu devant une foule de 150/200 personnes. Ce n’était pas une grande foule mais dans des circonstances comme celle-ci, vous devez entendre des choses étranges que les gens hurlent. Quelle est la chose la plus étrange que vous ayez entendu jusqu’ici ?
Tom : Je ne sais pas. Vous devez nous le dire car nous avons des oreillettes, donc je suis sensé ne rien entendre. Je ne regarde que ma guitare, elle est incroyable.
Katie Hasty : Oui, oui, oui. L’ignorance est absolue quand vous jouez.
Tom : Exactement. Je n’entends rien. Par contre, j’ai déjà vu des seins, mais j’ai juste vu…
Georg : De mon côté, non ?
Tom : Non, c’était de mon côté. (rient)
Katie Hasty : Avez-vous déjà eu un débat du genre : « Qui dans le groupe a vu le plus de seins ce soir » ?
Georg : Oui.
Tom : Oui. C’est le grand sujet sur lequel nous nous battons tout le temps.
Katie Hasty : Très bien. Tout le temps ? C’est un peu comme avec les Beatles.
Tom : Exactement.
Katie Hasty : J’ai vu le clip de votre actuel single, que la radio KROQ diffuse beaucoup actuellement. C’est un clip sensuel et sexy. Quels sont vos projets futurs pour vos prochains clips ? Avez-vous de grands fantasmes que vous aimeriez réaliser ?
Tom : Je ne sais pas pour ce qui est du fantasme… je veux dire, un des fantasmes a été de faire une orgie comme celle que nous avons faite sur « Love Who Loves You Back », c’était quelque chose que… c’est surtout Bill a toujours voulu faire cela, et nous aimons tous le film qui a inspiré ce clip, qui est le film allemand « Parfum », et hm… ouais, je ne sais pas… je veux dire, nous avons parler de ça hier…
Georg : Oui.
Tom : … car nous avons de drôles d’idées pour le nouveau clip mais…
Georg : Mais je ne peux rien dire.
Tom : … je ne peux rien dire.
Katie Hasty : Vous ne pouvez rien nous dire.
Tom : Oui. C’est… oui, je pense que je ne peux pas en parler car nous ne savons pas si nous allons le faire car ça pourrait choquer en fait.
Katie Hasty : Qu’est-ce qui pourrait choquer ? Nous pouvons en parler ici.
Tom : Je sais. Ca serait quelque chose de vraiment grossier et amusant et… et je pense que c’est amusant, je ne sais pas si les gens penseraient de la même façon, peut-être que certains seraient plutôt dégoûter. Donc, je sais que le prochain single que nous sortirons sera « Feel It All ».
Katie Hasty : Ok.
Tom : Nous allons tourner le clip très bientôt. Nous sommes actuellement en train de nous creuser les méninges.
Katie Hasty : Est-ce que le tournage aura lieu ici, à Los Angeles ou peut-être en Allemagne ?
Tom : Nous allons quitter Los Angeles la semaine prochaine, donc il se peut… je pense que nous allons tourner le clip à Berlin.
Katie Hasty : Ok, très bien. Et maintenant, nous sommes dans la partie « compilation de chansons » de HitFix. Quels sont les trois chansons que vous recommandez à nos utilisateurs ?
Tom : Hm…
Georg : Une des chansons pour moi serait d’Arctic Monkeys avec « Do I Wanna Know ». J’adore cette chanson.
Tom : J’adore « Howling ». C’est un remix qui est sorti, je ne sais pas qui a fait le remix mais cette chanson s’appelle « Howling » par Ry et quelqu’un d’autre. Allez l’écouter si vous la trouvez. Elle est assez incroyable et… quoi d’autre ? Hm… quelle est ta chanson préférée de l’album de Tokio Hotel ?
Georg : Oh, maintenant ?
Tom : Je pense que vous devriez écouter « Covered In Gold » par Tokio Hotel.
Georg : Oui.
Katie Hasty : J’ai entendu parlé de ce groupe, ils sont assez bons.
Tom : Ils sont incroyables. Ils ont un très beau guitariste !
Georg : Bassiste ! (rient)
Katie Hasty : Très bien. Allez voir le guitariste, le bassiste et probablement le reste du groupe.
Georg : Le reste n’a pas d’importance.
Tom : Oui.

Traduction par Prinz16