Episode 5 : « Flingues, gaz et lumières stroboscopiques »
Tom : Bill a son flingue !
Bill : Et même avec toutes les lumières entre tout cela…
Homme : Oui, sous la scène ?
Bill : Sous la scène et tout cela entre, et après, les lumières stroboscopiques, je pense que ça va être chouette.
Mon seul soucis est que je suis très proche de Gustav, je pense que ça va vraiment foutre en l’air mon son. Depuis que nous faisons beaucoup de traitement, vous savez, nous faisons beaucoup plus de traitement avec les voix, et j’ai peur que ça capte la batterie de Gustav, donc… je pense que ça va bien merdé !
Tom : Bravo.
Bill : Il y a encore beaucoup de travail à accomplir.
Je pense que le plus grand défi, puisque nous prenons beaucoup d’affaires et que nous le savions avant, est la taille des salles. Donc nous avons… nous avons beaucoup de production et nous avons tellement de choses. C’est une lutte constante mais ça va fonctionner.
Aron Forbes : Les propriétaires des salles vont être là : « Oh mon Dieu, ça va être dingue. Nous ne savions pas que nous pouvions faire cela dans notre salle ».
Bill : Oui, exactement ! Et il y a tellement de lumière ! Genre j’étais… je veux dire, j’étais un peu sur le cul quand j’ai vu toutes ces lumières.
Aron Forbes : C’est tellement intense !
Bill : C’est tellement intense !
Tom : Et ce n’est même pas tout ! Ils sont encore…
Aron Forbes : Ils sont encore en train de construire.
Bill : C’est tellement intense ! Et ça n’était pas éclairé ! J’ai l’impression, quand il fera noir et qu’ils allumeront les lumières, que ça va être… Gustav va avoir si chaud !
J’ai vu un extrait du clip « Feel It All » et il s’avère être génial !
Aron Forbes : Oh, tu as vu un extrait ?
Bill : Oui, nous y sommes presque.
*Automatic*
Tom : Oui, donc mon sentiment au sujet de cette tournée est que je suis… je suis vraiment excité et nerveux en même temps car il y a beaucoup de technologie qui entre en compte et… et il y a… c’est… c’est bien plus que ce que nous avons déjà utilisé ou que ce qu’un autre groupe a utilisé dans le passé. Je ne sais même pas si quelqu’un a déjà eu une telle configuration avant. Et c’est beaucoup de technologique sur laquelle vous devez compter aussi, donc ça me rend aussi un peu nerveux. C’est juste le bon sentiment pour chaque chanson – dans mon oreille, ça sonne incroyablement bien. Pour la première fois, nous ne devons pas nous soucier du son que sort Georg à la basse, qui est toujours assez mauvais. Nous devons aussi nous soucier que toute la technologie fonctionne correctement et que tout est bien connecté et qu’il n’y a aucun câble qui tombe en panne, sinon, tout le concert est complètement fichu.
Homme : Voici tous les costumes et les instructions d’entretien.
Bill : Oh, cool.
Georg : Ca, c’est ma jupe.
Bill : C’est ta jupe ?!
Georg : Oui. Pour les coulisses.
Bill : As-tu déjà essayé quelque chose ?!
Georg : Non.
Ne me filme pas ! Filme le cul de Bill.
Bill : Non, ne filme pas mon cul.
Georg : Je veux ton cul. Je veux dire, en photo. (rires)
Georg : Tout le concert !
Tom : 30 secondes maximum.
Bill : Où est Gustav ?
Georg : A l’extérieur.
Bill : Que fait-il ?
Georg : Tu entends la scie sauteuse ?…
Aron Forbes : Il est en train de bricoler.
Georg : … C’est Gustav.
Bill : Qu’est-ce qu’il bricole ?
Tom : Nous payons des constructeurs pour construire des boites et Gustav est en train de les reconstruire.
Aron Forbes : Il devrait venir essayer sa tenue.
Bill : Je pense que c’est chouette ! Je pense que ça donne vraiment bien !
Désolé.
Gustav : Il m’a touché…
Tom : Bien Gustav !
Gustav : Mais… ça ne serait pas génial… (personne ne l’écoute) Enculés… Schwanzlutscher…
Bill : Tu l’as mise dans le mauvais sens.
Je veux dire, Tom, tu sembles…
Tom : Je ressemble à Jésus !
Peut-être que je dois juste porter une couronne et…
Georg : Et rien d’autres.
Tom : Oui, à poil.
Bill : Donc, nous avons eu hier les premières répétitions dans un endroit plus grand, dans une salle plus grande. Nous avons vu les lumières pour la première fois et ils [les ouvriers] nous ont montré ce qui était possible de faire avec, et les lumières… C’est dingue ce qu’ils sont capables de faire !
Tom : Non, c’est tout simplement formidable. Nous avions un peu peur que ça soit trop lumineux pour de petits endroits, et quand nous sommes arrivés hier, ils les ont essayé pendant une seconde, et c’était genre « pleinement lumineux ».
Bill : Et ils nous ont vraiment surpris !
Aron Forbes : C’est formidable.
Bill : C’est si chouette dans la lumière.
Tom : Bill a son flingue !
Bill : Ne m’emmerdez pas ! Ok, cool. Oui, je l’adore.
Dès qu’il y a quelque chose qui n’est pas sous mon contrôle ou qui n’est pas dans ma main, je deviens très nerveux ! Si il pouvait y avoir 20 Bill pour s’occuper du concert, je ne serais pas autant nerveux, mais… mais je deviens très…
Tom : Je deviendrais très nerveux si c’était le cas.
Bill : Dès que j’entre sur scène et que je chante ma chanson, je ne suis plus du tout nerveux ! Tout mon stresse s’envole d’un coup. Donc, être assis là, à attendre que tout commence et attendre jusqu’à ce que tout soit bon, me rends fou ! Et je déteste ça.
Bill : Pourquoi tout le monde boit une bière ?
Tom : Car nous devons nous détendre.
Je suis si nerveux !
Tom : Georg !
Gustav : Mon solo de cloche !
*Stormy Weather*
Aron Forbes : Nous avons terminé la première répétition générale du spectacle. C’est fantastique. Il va être fantastique. Ca va être un spectacle spécial, c’est probablement la plus grande production sur la plus petite scène que j’ai jamais vu !
Bill : Nous avons eu la première répétition générale et je pense que ça va s’avérer encore mieux que je le pensais, c’est exactement ce que je voulais. Je pense que ça va être un spectacle incroyable. Je pense que le son est génial. Je pense que les lumières sont incroyables. Mes costumes sont géniaux, donc, je pense que ça va tout simplement être un spectacle très, très chouette et je… je ne pourrais pas être plus excité. Je pense qu’après la répétition générale, je me sens… je me sens beaucoup mieux et soulagé et je pense que ça va fonctionner, je pense que ça va être une tournée formidable.